Nous avons reçu, en un wek-end, plusieurs centaines de messages, sinon milliers, nous injuriant, nous menaçant, Lyes Alouane, notamment, pour son militantisme et ses actions menées en banlieue. Mais aussi pour avoir soutenu et pris la défense de l’ariste Bilal Hassani, harcelé sur les réseaux. Des publications, sous couvert d’anonymat et de la liberté d’expression, qui constituent pourtant des délits réprimés par le Code pénal. Mais les modérateurs des sites concernés se cantonnent au mieux à la suspension en France de certains comptes.
Face à l'ampleur du cyber-harcèlement auquel est confronté @iambilalhassani, qui témoigne des violences psychologiques ordinaires subies par les jeunes #LGBT+ sur les réseaux sociaux, nous demandons avec @GabrielServille que @TwitterFrance soit plus ferme et plus réactif. pic.twitter.com/g4lygE67EV
— Raphaël Gérard (@RaphaelGerard17) 15 novembre 2018