Ils sont persécutés dans au moins 75 pays, dont 13 qui prévoient la peine de mort. Mais pour constituer leur dossier de demande d’asile, ils doivent apporter les preuves de la discrimination fondée sur leur orientation sexuelle ou sur leur identité de genre, qui doit atteindre « un certain niveau de gravité », comme le stipule la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) dans un arrêt de 2013.
Les procédures varient toutefois selon les états. Mais l’existence d’une loi criminalisant l’homosexualité dans le pays d’origine ne suffit pas à donner droit au statut de réfugié.
Nous recevons tous les jours des appels et demandes de soutien, des jeunes principalement, pris au piège avec des situations dramatiques, mais le cœur plein d’espoir.
Plus que jamais solidaires.