«C’est une décision raisonnable. Je pense qu’elle démontre qu’on protège encore la vie privée en France», a-t-il déclaré sur Europe 1.
A la question «faut-il encore durcir la loi contre la presse people ?», Florian Philippot a répondu «probablement».
«Il faut que ces magazines qui ne sont là que pour engraisser des actionnaires, qui n’ont pas d’autres objectifs que faire du fric sur le dos des gens en utilisant tous les moyens les plus immoraux et les moins éthiques, soient dissuadés de le faire, parce que c’est terrible d’aller vers cette américanisation où on confond vie privée et vie public», a-t-il dit.
Closer, qui a annoncé faire appel de sa condamnation, a publié des photos montrant Florian Philippot en compagnie d’un homme présenté comme son ami.
Outre les dommages-intérêts de 20.000 euros, le juge des référés du Tribunal de grande instance de Paris a également condamné l’hebdomadaire à publier la décision en couverture du journal et à verser 3.500 euros à l’élu au titre des frais de justice.
AFP
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