Ce dimanche 26 mars, trois hommes auraient été surpris et mis en fuite par une riveraine de l’association nantaise, alors qu’ils collaient en pleine journée des affiches homophobes sur la façade du local.
Ce n’est pas la première fois que la permanence du CLGBT est la cible de dégradations. En mai 2016, notamment, la vitrine avait déjà été brisée et la porte d’entrée, forcée.
« Nous sommes une nouvelle fois attaqués pour ce que nous défendons, pour la société inclusive que nous voulons voir s’épanouir ! », ont dénoncé mardi dans un communiqué les responsables du centre, qui refusent de « plier » devant cet énième « acte de haine et d’une profonde lâcheté » et annoncent qu’une plaine a été déposée.
Nous lui adressons notre plein soutien.