Les confessions de Frigide Barjot sur les conditions de l’avortement débattu ce lundi à l’Assemblée Nationale

Radical ? Il semblerait que l’Ex-égérie ait pris du recul sur ses aversions et les vocations des Boutin, Bourges et compagnie. « Propositions positives », mare du « Non », « des colères »… Que de revirements de vocabulaire. Comme quoi, parfois la réflexion à bon escient est utile. Peut-être que cette année, après avoir essuyé tellement de plâtres, et être passée à toutes les sauces, la « lumière » sera 🙂

>> Demain à l’Assemblée Nationale, deux amendements de la loi sur l’égalité homme-femme (ah bon, avorter ça égalise ?) vont élargir les conditions de l’avortement, notamment en supprimant la notion de « détresse ».

Cette mesure va dans le sens contraire de ce que je prône dans mon livre « Confessions d’une catho branchée » : le retour à la loi de « détresse » Veil – comme les espagnols vont le faire, de façon trop stricte –, et non son abolition – comme les asso. ultraproVie la demande (En Marche pour la Vie, Fondation Lejeune, VIta, etc.).

Par ailleurs, il faut beaucoup plus aider les femmes qui ne peuvent garder l’enfant qu’elle porte sans l’avoir voulu et les enfants à naître : il faut ABSOLUMENT encourager l’adoption à la source, in utero, avec possibilité de garder le lien si l’enfant majeur le désire et que la mère l’accepte. Tant de couples stériles sont en souffrance, tant de femmes préfèreraient de pas donner la mort. Travaillons à ces propositions positives, plutôt qu’à toujours dire NON, ANTI, COLERE et PHOBIE ! Voilà demain je suis Veilophile et antiphobe ! Je marche pour ce qui marche : je marche POUR toutes les vies.

@stop_homophobie