Manif pour tous: des Sociétés de Journalistes SDJ critiquent

Les Sociétés de Journalistes (SdJ) d’i-Télé/Canal+, BFMTV, M6, Télérama, Elle et Le Monde se sont élevées aujourd’hui contre le « traitement réservé aux journalistes lors de la manifestation contre le mariage pour tous ».

« Une reporter d’i-Télé a fini aux urgences, aspergée de gaz lacrymogène ‘à bout portant’ et jetée au sol par des gendarmes, alors qu’elle était en train d’interviewer un responsable politique », expliquent les organisations professionnelles dans un communiqué. Les SdJ n’hésiteront pas à se « joindre aux plaintes qui pourraient être déposées à la suite de ces violences », indiquent-elles.

Outre l’attitude des policiers, les journalistes ont mis en cause celle des organisateurs: « Les reporters -tous médias confondus- présents sur place ont pu constater le climat délétère qui régnait parmi les manifestants à l’égard des journalistes. Insultes, crachats, entrave au travail, parfois même agression physique. » « Il ne s’agit pas là d’un élément isolé mais bien d’une ambiance générale hostile aux journalistes. Ce climat rappelle ce que beaucoup de journalistes avaient constaté et dénoncé lors de certains meetings de la dernière campagne présidentielle », soulignent les SdJ, qui demandent aux organisateurs et aux autorités de s’assurer que tout sera fait à l’avenir pour éviter de tels débordements.

La manifestation dimanche contre le projet de loi ouvrant le mariage et l’adoption aux couples homosexuels, déjà adopté à l’Assemblée nationale, a été le théâtre en fin de journée d’affrontements entre les forces de l’ordre et des groupes de manifestants qui entendaient braver l’interdiction d’accès aux Champs-Elysées. Le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, mis en cause par l’opposition, a rejeté la responsabilité des incidents sur les organisateurs, déclarant aujourd’hui que ces débordements avaient été « prémédités ».

source:lefigaro.fr

Manif pour tous: des Sociétés de Journalistes SDJ critiquent

Les Sociétés de Journalistes (SdJ) d’i-Télé/Canal+, BFMTV, M6, Télérama, Elle et Le Monde se sont élevées aujourd’hui contre le « traitement réservé aux journalistes lors de la manifestation contre le mariage pour tous ».

« Une reporter d’i-Télé a fini aux urgences, aspergée de gaz lacrymogène ‘à bout portant’ et jetée au sol par des gendarmes, alors qu’elle était en train d’interviewer un responsable politique », expliquent les organisations professionnelles dans un communiqué. Les SdJ n’hésiteront pas à se « joindre aux plaintes qui pourraient être déposées à la suite de ces violences », indiquent-elles.

Outre l’attitude des policiers, les journalistes ont mis en cause celle des organisateurs: « Les reporters -tous médias confondus- présents sur place ont pu constater le climat délétère qui régnait parmi les manifestants à l’égard des journalistes. Insultes, crachats, entrave au travail, parfois même agression physique. » « Il ne s’agit pas là d’un élément isolé mais bien d’une ambiance générale hostile aux journalistes. Ce climat rappelle ce que beaucoup de journalistes avaient constaté et dénoncé lors de certains meetings de la dernière campagne présidentielle », soulignent les SdJ, qui demandent aux organisateurs et aux autorités de s’assurer que tout sera fait à l’avenir pour éviter de tels débordements.

La manifestation dimanche contre le projet de loi ouvrant le mariage et l’adoption aux couples homosexuels, déjà adopté à l’Assemblée nationale, a été le théâtre en fin de journée d’affrontements entre les forces de l’ordre et des groupes de manifestants qui entendaient braver l’interdiction d’accès aux Champs-Elysées. Le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, mis en cause par l’opposition, a rejeté la responsabilité des incidents sur les organisateurs, déclarant aujourd’hui que ces débordements avaient été « prémédités ».

source:lefigaro.frManif pour tous: des Sociétés de Journalistes SDJ critiquent

Les Sociétés de Journalistes (SdJ) d’i-Télé/Canal+, BFMTV, M6, Télérama, Elle et Le Monde se sont élevées aujourd’hui contre le « traitement réservé aux journalistes lors de la manifestation contre le mariage pour tous ».

« Une reporter d’i-Télé a fini aux urgences, aspergée de gaz lacrymogène ‘à bout portant’ et jetée au sol par des gendarmes, alors qu’elle était en train d’interviewer un responsable politique », expliquent les organisations professionnelles dans un communiqué. Les SdJ n’hésiteront pas à se « joindre aux plaintes qui pourraient être déposées à la suite de ces violences », indiquent-elles.

Outre l’attitude des policiers, les journalistes ont mis en cause celle des organisateurs: « Les reporters -tous médias confondus- présents sur place ont pu constater le climat délétère qui régnait parmi les manifestants à l’égard des journalistes. Insultes, crachats, entrave au travail, parfois même agression physique. » « Il ne s’agit pas là d’un élément isolé mais bien d’une ambiance générale hostile aux journalistes. Ce climat rappelle ce que beaucoup de journalistes avaient constaté et dénoncé lors de certains meetings de la dernière campagne présidentielle », soulignent les SdJ, qui demandent aux organisateurs et aux autorités de s’assurer que tout sera fait à l’avenir pour éviter de tels débordements.

La manifestation dimanche contre le projet de loi ouvrant le mariage et l’adoption aux couples homosexuels, déjà adopté à l’Assemblée nationale, a été le théâtre en fin de journée d’affrontements entre les forces de l’ordre et des groupes de manifestants qui entendaient braver l’interdiction d’accès aux Champs-Elysées. Le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, mis en cause par l’opposition, a rejeté la responsabilité des incidents sur les organisateurs, déclarant aujourd’hui que ces débordements avaient été « prémédités ».

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Les Sociétés de Journalistes (SdJ) d’i-Télé/Canal+, BFMTV, M6, Télérama, Elle et Le Monde se sont élevées aujourd’hui contre le « traitement réservé aux journalistes lors de la manifestation contre le mariage pour tous ».

« Une reporter d’i-Télé a fini aux urgences, aspergée de gaz lacrymogène ‘à bout portant’ et jetée au sol par des gendarmes, alors qu’elle était en train d’interviewer un responsable politique », expliquent les organisations professionnelles dans un communiqué. Les SdJ n’hésiteront pas à se « joindre aux plaintes qui pourraient être déposées à la suite de ces violences », indiquent-elles.

Outre l’attitude des policiers, les journalistes ont mis en cause celle des organisateurs: « Les reporters -tous médias confondus- présents sur place ont pu constater le climat délétère qui régnait parmi les manifestants à l’égard des journalistes. Insultes, crachats, entrave au travail, parfois même agression physique. » « Il ne s’agit pas là d’un élément isolé mais bien d’une ambiance générale hostile aux journalistes. Ce climat rappelle ce que beaucoup de journalistes avaient constaté et dénoncé lors de certains meetings de la dernière campagne présidentielle », soulignent les SdJ, qui demandent aux organisateurs et aux autorités de s’assurer que tout sera fait à l’avenir pour éviter de tels débordements.

La manifestation dimanche contre le projet de loi ouvrant le mariage et l’adoption aux couples homosexuels, déjà adopté à l’Assemblée nationale, a été le théâtre en fin de journée d’affrontements entre les forces de l’ordre et des groupes de manifestants qui entendaient braver l’interdiction d’accès aux Champs-Elysées. Le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, mis en cause par l’opposition, a rejeté la responsabilité des incidents sur les organisateurs, déclarant aujourd’hui que ces débordements avaient été « prémédités ».

source:lefigaro.fr