Ils ont dédié leur carrière aux victimes accusées d'homosexualité, passible de 6 mois à 5 ans de prison au Cameroun et jusqu'à 3 ans en Tunisie.
Ils ont dédié leur carrière aux victimes accusées d'homosexualité, passible de 6 mois à 5 ans de prison au Cameroun et jusqu'à 3 ans en Tunisie.