En refusant de se saisir de l'affaire, la plus haute juridiction du pays a confirmé de facto l'interdiction de ces "pratiques dangereuses" censées "guérir" les homosexuels.
En refusant de se saisir de l'affaire, la plus haute juridiction du pays a confirmé de facto l'interdiction de ces "pratiques dangereuses" censées "guérir" les homosexuels.