Faustine nous avait contactés il y a quelque temps à propos d’un projet qu’elle souhaitait réaliser dans le cadre de son service civique : Un court-métrage pour favoriser une prise de conscience quant à l’impact que de simples mots peuvent avoir, sans pour autant être de l’homophobie avérée, ni même consciente.
Parce que «la stigmatisation par la parole, même empreinte d’humour et de dérision… reste de la violence.».
Victimes ou témoins, la tolérer c’est y consentir et contribuer à sa banalisation. Alors, «prêtons attention à nos propres mots pour atténuer les maux de demain.».
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